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💤 Une saison jugée « morte »… mais pas pour tout le monde

Juillet et août sont souvent considérés comme des mois creux dans l’immobilier : entre 20 et 35 % de baisse d’activité sur les recherches et signatures selon les données de Seloger et MeilleursAgents.
Les raisons ? Les congés d’été, la désorganisation des familles, et un marché en attente de la rentrée.

Mais pour un investisseur immobilier ou un marchand de biens, c’est précisément là que réside l’opportunité.

📉 Selon une étude de MeilleursAgents, la demande des acheteurs chute en moyenne de 27 % en août par rapport à mai.

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🧮 Moins de concurrence = plus de pouvoir de négociation

Un vendeur qui n’a reçu aucune offre sérieuse depuis juin commence à perdre patience.

➡️ Pour vous, cela signifie :

• Possibilité de faire des offres en dessous du prix affiché (jusqu’à -10 à -15 % acceptées dans certaines zones rurales ou périurbaines).
• Agents plus ouverts à la discussion pour éviter un mandat expiré ou non renouvelé.
• Temps de réponse réduit, car les vendeurs craignent l’immobilisme estival.

💬 Chez Acheteur de Maisons Bretonnes, 1 bien sur 3 acheté durant l’été a été négocié avec une réduction moyenne de 12,4 % par rapport au prix initial affiché.

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🔥 Les vendeurs motivés ne prennent pas de vacances

Tous les vendeurs ne peuvent pas se permettre d’attendre septembre :

• Certains sont pressés par un compromis de rachat, une succession à régler ou des frais bancaires qui courent.
• D’autres ont déjà baissé leur prix et sont en bout de course.

📊 Selon l’INSEE et les données notariales, environ 35 % des ventes estivales concernent des motifs d’urgence familiale ou financière (divorces, mutations, décès, dettes).

Ce sont ces profils-là que vous pouvez cibler, avec une bonne stratégie de sourcing et des offres bien construites.

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⏱ Anticiper la rentrée pour mieux la dominer

Faire une offre début juillet = compromis signé mi-août = travaux ou mise en location dès septembre.

Pendant que les autres recommencent à peine à chercher sur Leboncoin ou SeLoger, vous êtes déjà sur le chantier, ou sur le point de signer votre revente.

🎯 Exemple réel :

• Achat d’un bien en août à 130 000 € (estimé à 150 000 € en juin, mais sans offre)
• Travaux réalisés en septembre-octobre pour 35 000 €
• Revente actée en novembre à 220 000 €
  👉 Profit net estimé : +40 000 € sur une opération « hors saison »

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📈 L’été, une fenêtre discrète mais puissante

Les acheteurs sont 30 % moins actifs, les vendeurs sont 2 fois plus réactifs, et le pouvoir de négociation est à son pic.

Saisir cette fenêtre, c’est :

• Sortir du lot,
• Réduire les délais,
• Maximiser les marges.

Même les notaires sont plus disponibles sur certaines périodes calmes, ce qui accélère vos signatures.

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En résumé :

Avantage	Période estivale
Activité des acheteurs	-27 à -35 %
Prix de vente moyen	5 à 15 % négociables
Délai de réponse vendeur	2 à 5 jours
Taux de transformation offre → compromis	+20 % vs septembre
Nombre de concurrents par bien	Divisé par 2 à 3

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🧠 L’été, c’est pour les touristes ? Pas pour les investisseurs malins.

Ceux qui osent faire des offres pendant que les autres bronzent, ce sont ceux qui revendent avant que les autres signent leur premier compromis.

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